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La cave voutée

30 mars 2017

Des failles. Encore des failles, mais pas que

Hier soir j'ai "soigné" en direct.
C'est vraiment ce que je préfère.
J'ai soigné une petite meuf, la petite trentaine, qui vient d'avoir son second bébé.
Je la croise souvent dans la semaine. Une fois à l'amap, une fois au yoga et parfois dans le quartier. Petite meuf que je voyais fofolle et pas très sérieuse.

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Avant le soin, on papote. On se sent le cul. C'est pas très jolie comme expression, mais ça veut bien dire ce que ça veut dire. Et puis, je lui explique. Explique que je vais utiliser un pendule avant le soin. Explique le principe des failles et des entités. Grands yeux. Interrogation. Elle me dit que ça lui fait bizarre de me voir aussi sérieux. Elle me découvre autrement.

J'ai une idée derrière la tête. Non non. Pas de ces idées ou on se retrouve tout nu imbriqué l'un dans l'autre. On se sent le cul, mais on est pas des chiens.

Cette jeune femme vient de faire un bébé. Il y a deux mois. Dans les lectures d'un de mes groupes facebook préférés, j'avais retenu la demande d'une nouvelle maman, qui s'interrogeait sur le fait qu'elle n'arrivait plus à faire du Reiki depuis qu'elle avait accouché. Je crois que c'est mon maître à moi (et juste à moi), qui avait dit que c'était normal du fait d'avoir accouché. Que les accouchements ouvraient des failles énergétiques et que ça allait revenir dans la temps.
Donc, ma jolie Sandrine (C'est pas son vrai prénom hein), était très fatiguée quand je lui ai proposé mes soins. C'est d'ailleur pour cela que je lui ai proposé.

Pas facile d'expliquer, le taux vibratoire, les failles et les entités tout de même. Mais je me jette à chaque fois dans la bagarre. Je me dis que ça fait parti de job et je souhaite vraiment que le receveur sache ce que je fais avec son corps et mes pratiques chelous.

Nous nous installons. Encens, musique, pénombre. (Non. N'insiste pas. Il n'y aura personne de désabillé dans cette scène.)
Je teste le tv. Je teste les failles. Trois. Et bim. Je les localise. Coeur, plexus, chacha racine.

Je prépare le ciment, et je rebouche. Je suis le maçon de l'énergie. Un coup de truelle à gauche, un autre à droite. Laisse aller c'est une valse. Ma patiente est plutôt concentrée.

Voilà ma petite dame. Vous êtes rebouchée.

Et on attaque le soin. C'est un flot de parole qui s'écoule. Ma petite meuf n'a pas arrêté de parler. Elle m'a raconté ses copines avec leurs visions. Des présences. Une autre, marocaine, qui voyait des chiens enragés la nuit et qui a été voir un exorciseur (c'est son mot). Djin et imam de mon point de vu. Ses accouchements naturels dans un hôpital qui permet ça. Ses interrogations sur les vaccins. Son combat pour sortir un peu du système.

Beaucoup de sujets abordés, certains très perchés..

Au final, on a fait du Reiki oui. Mais on s'est aussi rencontré. C'est pas la première fois. C'est le plus de cette pratique. La rencontre. La vraie.

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22 mars 2017

Voyage au cœur du ventre de ma mère

Pour mes 50 ans j'ai décidé de m'offrir un moment inhabituel, retourner dans le ventre de ma mère. Je n'ai jamais fait ce genre d'exercice mais cela m'appelle. Je suis en toute confiance, je suis avec Martine, la formatrice en fleurs de Bach, formation de niveau 1 que j'ai suivi il y a 3 semaines. Formidable formation au passage.

Cela s'appelle "Sophrologie vie intra-utérine"

 

Je m'installe sur une table de massage, Martine est juste à côté. Pas besoin de prendre trop de temps dans le questionnement, j'ai déjà répondu à un questionnaire dans la semaine précédente. Cela permet de consacrer un maximum de temps à ce voyage tout particulier. Je démarre avec quelques grandes respirations pour entrer dans une certaine relaxation. Puis nous descendons en profondeur mais tout en restant consciente de ce qui se passe et à l'écoute de la voix bienveillante de Martine. Je conscientise les points d'appui de mon corps sur la table de massage.

Nous allons tout d'abord dans un endroit de calme, d'ancrage. J'ai pensé d'emblée à la cascade en Corse près de la maison mais tout d'un coup c'est une autre image qui s'impose. Le feu sacré à veiller au week-end chamanique que j'ai vécu en septembre l'année dernière. Quel bel endroit pour retrourner au calme et vers l'ancrage. Martine me dit que je peux y retourner à tout moment et qu'elle est là pour me guider si besoin.

Et tout doucement nous entrons dans la phase de décollage vers l'inconnu qui a été si familier puisqu'il s'agit de mon enfance. Martine me demande quelle première image vient se présenter à moi. Je m'attends à me voir en bébé ou en embryon puisque le voyage a pour destination ma vie intra utérine. Je suis surprise. Je me vois à l'adolescence, appuyée contre une voiture. Il s'agit d'une photo qui a été prise à l'époque. Martine me demande quelle émotion, quel sentiment cela m'évoque. La tristesse, je ne saurais pas dire pourquoi mais c'est la tristesse qui me vient. Les bords de mes yeux commencent à s'humidifier. Martine me demande avec la plus grande douceur, pourquoi la tristesse ? Qu'est-ce que cela m'évoque ? Le manque de la présence de mes parents. Le mot absence me vient. Le manque de câlins avec eux. Sentiment de peur de ne pas être aimée.

Puis nous continuons la descente vers la petite enfance. Les images ne semblent pas vouloir venir. J'ai la gorge serrée, comme oppressée. Martine est toujours là, bienveillante qui utilise les bons mots et de sa douce voix me permet de calmer cette montée d'émotion. Je me vois avec mes 3 frères et ma soeur, nous sommes petits, nous jouons ensemble. Il n'y a que nous, il n'y a pas mes parents. Je ne sens pas leur présence. Les mots me viennent "livrés à nous même". Ils sont là, sans être là. Martine me dit de garder en moi cette joie qui nous lie avec mes frères et soeur. De sentir cette harmonie entre nous.

Qu'est-ce que je souhaiterais dire à mes parents ? J'entends cette question de Martine. Les mots ont du mal à venir. Ils bloquent dans mon cerveau. Je me rends compte que je n'ai pas l'habitude d'exprimer si ouvertement mes sentiments à mes parents. Je souhaiterais leur dire que je les aime, puis je suis amenée à m'adresser directement à eux. Je vous aime, j'aurais aimé jouer avec vous, à n'importe quel jeux, peu importe, le principal c'est de jouer ensemble. Je veux des câlins, de la reconnaissance, que mon père soit fier. Je sais qu'il est fier mais il ne l'exprime pas. Il faut que vous arrêtiez de vous disputer, qu'on soit témoin de vos "engueulades". Par moment je m'adresse à eux, par moment c'est indirect.

Puis le voyage continue, je vois d'un seul coup ma mère, jeune, assise sur une chaise, elle a les cheveux court. Les mots, souriante et calme me viennent. C'est avant ma naissance, je pense. Puis je vois mon père habillé en militaire en Algérie et le mot Force me vient. Les images sont des photos que j'ai déjà vu. Martine me fait entrevoir ce que mes parents m'ont transmis, le sourire, le calme mais la force aussi. Il faut que je me nourrisse de cela.

Martine me demande de voir la petite fille intérieure de ma mère. Et là c'est une grosse montée d'émotion qui surgit sans crier gare. Les yeux se mouillent de plus en plus pour finir en sanglot. Martine me dit d'accueillir cette émotion, de la laisser s'exprimer. Sentiment de grande tristesse envers cette petite fille. Martine me demande d'exprimer la raison de cette tristesse. Tristesse d'avoir perdu ses parents, tristesse d'être orpheline. Les larmes coulent à flot mais agissent en purificatrices. Puis cela se calme, Martine me demande comment je me sens à présent. je me surprends à consoler la petite fille intérieure de ma mère. Ma petite fille intérieure est venue réconforter la petite fille intérieure de ma mère. Quelle belle image, c'est doux, tendre.

Puis nous passons au petit garçon intérieur de mon père. Mais là, je n'arrive pas à visualiser. Le mot jovial me vient, mais c'est tout. 

Nous échangeons sur les blessures émotionnelles de mes parents, sans vouloir minimiser ce que j'ai pu ressentir dans mon enfance, nous comprenons aussi le manque qu'ils ont également ressenti, surtout ma mère.  Les mots, acceptation, compréhension se bousculent dans mes pensées.

Puis, nous repartons au moment de ma conception. A la toute première cellule qui se forme à partir du mélange de ma mère et de mon père. J'ai le mot fusion dans ma tête. Puis je vois un foetus, je vois ma mère enceinte, elle touche son ventre. Martine me demande de ressentir avec mon corps la sensation des mains de ma mère sur son ventre. Je ressens de la chaleur, elle est au niveau de mon ventre, c'est une chaleur douce, enveloppante. 

Tout à coup, ma gorge de nouveau se crispe, j'ai la mâchoire qui se contracte. Les mots colère, dispute me viennent en tête. Puis cela se calme. je vois ma mère enceinte, prête à accoucher. Je vois sur son visage un cri puis je suis là, cela a été très rapide.

Puis peu à peu nous rattrapons le court du temps en repassant de l'enfance à l'adolescence et là je revois à nouveau la photo de moi, ado, contre la voiture. Et comme par enchantement, le sentiment de tristesse a disparu. Je vois de la joie. Le voyage que je venais d'entreprendre à l'aide de Martine commence déjà à faire son effet.

Puis je reprends conscience de mon corps, des bruits environnants. Je renais à mon corps avec le sentiment d'avoir nettoyé une part d'ombre qui s'était tapie depuis longtemps.

Je suis très contente d'avoir entrepris ce voyage spécial en ce jour particulier d'anniversaire. je viens de fêter mes 50 ans et c'est comme une renaissance.

 

18 mars 2017

L'éveil du dragon

 

Source: Externe

Il était une fois, une petite fille qui rêvait d'être un dragon. Souvent, la nuit, elle s'envolait vers les étoiles. Souvent. Même après avoir grandit. Même après son initiation au reiki. Le jour, parfois, elle oubliait, de plus en plus souvent. La nuit, elle survolait les nuages et plongeait dans les étoiles. Et un jour, en plein soleil, il s'est présenté à elle. Et elle l'a suivi.

 


 

Suivi dans les étoiles si familières, et une galaxie en double spirale, qui tourne et tourne et tourne comme une galaxie double en yin et yang. Et un bras d'étoiles qui balaye cet insecte. Il acroche fort ses pattes, mais les étoiles lui sont tellement supérieures qu'il lâche, emporté par le flot. Et un arc qui se tend et qui tire une flèche de lumière d'étoile pour annoncer son arrivée. Plus près. Encore plus près. Il ouvre les yeux de son grand âge et m'observe. Lentement. Il prend son temps tout en se déroulant comme un serpent. Et mes petites mains d'humaine se mettent à chauffer. Elles chauffent. Elles surchauffent. Tellement fort ! Et en même temps tellement doux. D'un coup mon coeur s'expand et tout mon corps se tend. Le vieux dragon bondit et plonge en ma couronne. Si agile ! Et ma respiration se suspend. Puis reprend. S'amplifie bursquement. Et je sens mon aura qui grandit, qui s'amplifie. Elle brille. Je brille. Un oeuf d'or. Et le dragon en moi... Je me dilate. Le dragon en moi. Moi dans le dragon. D'autres dragons tout autour, volent, et moi-nous avec eux. Je suis multiple. Humaine et dragon. Et je (nous ?) tourne en spirale le long du vortex en regardant dehors les étoiles tourner. Tellement de beauté ! Nous nous amusons sur les parois du vortex. Change mon point de vue. M'attarde dans la nébulleuse pépinière d'étoile, celle qu'il m'avait fallu quitter plus tôt que voulu la dernière fois. Je repars. Nous repartons. Une planète. Une clairiaire. Un daim. Un hérisson. Je suis rassurée, je-nous ne les mangeons pas. Nous sommes en harmonie avec la vie.

 


 

De nouveau, je ferme les yeux et retrouve le vortex, les autres dragons. Je savoure ce vol dans l'espace si grisant. Impression fugace d'avoir oublié quelque chose. Deux mains se tendent portant une boule de lumière. Je tourne autour. Déploie mes ailes. Mais ne vois pas plus loin que ces mains. Juste ces mains et cette boule de lumière d'or si brillante, si attirante.... Je me souviens. la boule de Qi de l'initiation. Intégrer la boule de Qi. Je l'accueille en mon coeur. En deux étapes. Doucement. Elle entre et se répand. Répand sa lumière dans mon corps d'humaine et mon aura de dragon.

Une nouvelle galaxie dans son plan. Elle tourne et son centre s'élève. S'élève. S'élève et monte comme une tornade spaciale et s'élargit en un sablier de poussière d'étoile. Si grand ! Et moi si petite. Il est bien trop grand. Je crois. Trop grand ? Réalise que je suis bien assez grande. Et son pincement central s'élargit jusqu'à former un immense tuyau d'étoiles traversé par tellement d'énergie. Et mon corps, si petit. Troisième oeil en feu et soubressauts dans le poignet. Nausée. Cette émotion qui monte. Cette émotion que je ne contient plus. Et les si petites larmes qui sortent de mon corps si petit. J'inspire et accepte à haute voix. Et je sens... Je m'expands. Mon aura-peau s'étire et se dédouble et ma mue se décolle et me libère et je m'expands encore. Quelques douleurs au genoux, celui que je refuse toujours de plier éveillée. Je ne plie pas les genoux. Je reste debout ! J'aide ma mue à se décoller et libère mes jambes. Nul besoin de ployer maintenant. Et mon aura s'expand. Mes ailes se déplient dans mon dos. Je les sens. Je grandis. Je grandis et m'envole vers une ile. Une plage avec quelques palmiers, quelques plantes tropicales. Je monte. Mon ombre danse sur la canopée. Mon ombre et celles des autres dragons.

5 février 2017

Communiquer avec les guides ? Vraiment ?

Il faut que je sois tout à fait honnête. Avant l'année 2008 je ne croyais pas aux guides, aux anges, ou à des entités quelconques capables de nous aider à mener notre barque au mieux dans les tempêtes et les courants. Pourtant j'étais tombée dans la potion magique (c'est le cas de le dire) de l'ésotérisme depuis mon adolescence, et rien, croyais-je ne pouvait plus me surprendre. J'avais expérimenté vraiment toutes sortes de choses, car je suis curieuse de nature et plutôt ouverte. Mais toutes ces expériences s'accommodaient avec ma conception vibratoire du monde. Des phénomènes de poltergeist ? Rémanence ! La mediumnité ? Une connexion vibratoire entre deux sagesses supérieures, entre deux auras ! La télépathie ? Une histoire d'ondes ! Un rituel de protection ? On intervient sur les courants d'énergie pour les modifier. Et ainsi de suite.... La physique quantique elle-même me donnait raison, puisque tout était vibratoire, y compris la matière.

Les anges restaient donc une invention confortable de l'homme pour se sentir tant soit peu accompagné et protégé, un peu moins petit, un peu moins fragile, face à l'immensité de l'univers et son caractère aléatoire. Le reste, c'était des histoires. Au sens propre. Sympathiques, utiles parfois, mais des histoires. Des légendes.

Et puis, de fil en aiguille, de lectures en rencontres, d'ouvertures en ouvertures... Je vous passe le cheminement et les ruses que les guides ont déployé pour m'amener à douter de mes doutes, et à être ouverte à croire autre chose que mes certitudes, car il faudrait encore au moins trois articles, pour évoquer les synchronicités, les frissons, les claques de prises de conscience, les "bon ok ok, on dirait bien que..."

Je me retrouve à apprendre à communiquer avec les guides.

Il s'agit d'êtres qui sont pures consciences, pure énergie (je n'avais donc pas tout à fait tort haha !). Ils ont parfois été incarnés, parfois jamais. Ils se situent sur un plan de conscience différent, au-dessus de nos corps (corps physique et corps subtils), puisqu'ils n'ont pas de corps. Ils n'ont pas de genre et pas de nom, ils se reconnaissent entre eux par leur signature vibratoire. 

Ils sont là exprès pour nous aider, donc ils n'attendent qu'une chose, c'est qu'enfin nous soyons conscients de leur présence, c'est qu'enfin nous ayons le désir de les contacter, de les écouter, de bénéficier de leur guidance supérieure. Ils éprouvent pour les humains un amour infini, inconditionnel, sans jugement.

L'état de conscience qui correspond à la communication avec les guides est un état de conscience modifié par rapport à l'état de veille "normal", mais il ne demande pas une transe profonde, ni un entraînement de plusieurs heures par jour. La communication avec les guides est normale, évidente, et accessible à tous. En réalité, que vous en soyez conscients ou non, vos guides vous envoient des messages en permanence. Sous forme de citations inspirantes, de livres, d'un conseil d'ami, d'une chanson à la radio, etc. Et là il y a trois catégories de personnes : ceux qui sont endormis dans leur vie quotidienne, aveugles et sourds, mais qui, par facilité ou souplesse, se laissent guider sans le savoir ; ceux qui, consciemment ou non, refusent les messages de l'univers et s'épuisent en permanence à nager à contre-courant ou à essayer d'ouvrir à coups de tête des portes qui resteront fermées pour eux ; ceux qui acceptent consciemment la guidance et se laissent porter, parce que lorsqu'on est aligné avec son soi supérieur et ses guides, le courant naturel des choses nous porte toujours vers ce qu'il y a de mieux pour nous.

Au-delà de cette guidance subtile, de ces intuitions, de ces fulgurances qui ne s'expliquent pas forcément, ou parfois après coup, grâce aux synchronicités, il est possible d'entrer en communication de façon directe avec les guides, et de leur poser des questions, afin d'être éclairés sur le sens de ce que nous sommes en train de vivre, et guidés dans nos attitudes et postures vis à vis des épreuves que la vie nous envoie. Je vais faire une petite digression au sujet des épreuves. Le mot é-preuve signifie simplement "qui permet de faire ses preuves". Comme une épreuve sportive permet à l'athlète de se dépasser, une épreuve de vie permet à notre âme de se raffermir et de poursuivre son évolution. Si nous donnons du sens aux épreuves, si nous comprenons l'enseignement, la force qu'elles sont censées nous apporter, nous en sortirons forts d'une nouvelle lumière. Les guides peuvent nous y aider.

Pour communiquer avec vous, les guides peuvent utiliser tous les canaux qui existent, mais ils vont la plupart du temps se servir de celui qui vous est le plus accessible, le plus naturel, et surtout le plus complet, le plus riche, afin de pouvoir vous communiquer des messages suffisamment fins, clairs et précis. Certaines personnes entendent les guides dans leur tête, comme lorsqu'elles se souviennent des paroles de quelqu'un. La personne n'est pas vraiment là à vous parler, mais vous pouvez vous souvenir de sa voix et de ses mots comme si vous étiez en train de les entendre à cet instant. Certaines personnes voient des séries d'images, qui font sens, comme une bande-dessinée, ou plutôt comme un rébus, parce que c'est à nous la plupart du temps de décoder. D'autres personnes vont avoir divers ressentis dans leur corps. D'autres enfin, et c'est mon cas, vont recevoir les messages sous forme d'impulsions énergétiques. Quoiqu'il en soit, c'est avec notre cerveau droit que nous recevons en premier lieu les messages. Et c'est au passage cerveau droit cerveau gauche (pour les droitiers) que nous les transformons en mots issus de notre langue et de notre niveau de culture. Communiquer avec un guide est de toute façon toujours une opération de traduction. En italien un proverbe dit "traduttore, traditore". On joue ici sur les sonorités pour dire qu'il y a inévitablement une déperdition au moment de traduire. Littéralement cela signifie : traduire, trahir. Ce que je veux vous dire, c'est que tout le monde peut entrer en contact avec des guides, mais qu'il convient d'être vigilant au moment de restituer le message reçu, en particulier si c'est un message pour quelqu'un d'autre. Il n'y a pas de mauvais medium. Il y a des logiciels de traduction plus performants que d'autres.

Une fois que j'eus réalisé les exercices préparatoires, établi un premier contact, et enfin identifié mon canal de communication (l'écriture), toujours pas totalement convaincue, je commençai des protocoles de "transmission" ou channeling.

Je recevais donc des messages sous une forme vibratoire, comme des impulsions électriques dans mon cerveau, et je tâchais de les traduire en mots, que je notais au fur et à mesure. Mon protocole était le suivant : je me préparais vibratoirement, j'appelais mon guide du moment, ou un guide "le plus élevé possible dans la lumière", j'écrivais dans mon cahier de connexion son nom, et ma première phrase ou question, je me mettais en réception, et je notais ce qui venait. Il ne s'agit pas d'écriture automatique. J'étais consciente de décider d'écrire tel mot plutôt que tel autre parce qu'il correspondait plus à ce que je pensais avoir réceptionné comme message.  J'avais totalement conscience d'être une traductrice. Parfois, je ne trouvais pas de mots pour exprimer correctement ce que j'avais reçu, et dans ce cas par exemple, je mettais trois mots accolés pour essayer de rendre la nuance et la finesse du propos. Au début, que ce soit en recevant des concepts, des mots clairs, des pensées, ou des images, on se dit inévitablement : "c'est dans ma tête ! J'invente ! Je me fais des films. Et ça n'a ni queue ni tête". Mais plusieurs expériences m'ont convaincue que cela ne pouvait pas être dans ma tête. D'abord, le fait que si, à la fin de ma transmission, je refermais directement mon cahier, sans me relire, j'étais incapable de dire de quoi nous venions de parler. Incapable de raconter à quelqu'un la teneur de ce que je venais pourtant d'écrire. Le thème même ou des généralités y afférant ne me revenaient pas. Ensuite, à plusieurs reprises, les réponses de mon guide m'ont littéralement scotchée car jamais, si cela avait été mon mental, je n'aurai imaginé cette réponse. Enfin, il m'est arrivé de recevoir des mots que je ne connaissais pas (le nom de mon guide en vietnamien), ou des expressions que je n'avais jamais entendues dans le contexte précis où elles étaient utilisées par mon guide, mais qui faisaient référence à quelque chose de précis et vérifiable (par exemple, une fois que je posais une question sur le Christ, mon guide m'a répondu en le désignant par le terme "le fils de l'homme" ; or, pour moi il était le fils de Dieu et j'ai trouvé cette expression étrange... Jusqu'à ce que je la retrouve dans des livres pointus au sujet de Jésus et que j'apprenne qu'on le surnommait en effet parfois comme ça). J'ai finalement arrêté de lutter avec mon mental et accepté l'expérience. 

Les messages reçus font toujours mouche. Ils mettent toujours en lumière ce sur quoi nous aimerions bien mettre un mouchoir, la poussière sous le tapis... Les guides ont un humour très particulier et ils se moquent gentiment de nos faiblesses, de nos contradictions, de nos incohérences. Mais ils ne vont jamais provoquer en nous de sentiments négatifs. Ils ne vont jamais provoquer la peur, le ressentiment, la honte ou l'indignité. Ils pointent ce que nous avons besoin de voir, ce dont nous devons prendre conscience, en respectant totalement notre libre-arbitre et sans aucun jugement. Les guides ne vous diront jamais "il faut" ou "tu dois". Mais ils seront clairs sur les conséquences attendues si vous faites tel choix plutôt que tel autre. Après libre à vous de choisir votre récolte... et de semer en conséquence. Si vous souhaitez vous initier au channeling, je vous conseille de lire d'abord quelques ouvrages écrits sous la dictée des guides, il en existe pas mal. Mes préférés sont ceux de Sanaya Roman et Duane Parker. Mais lisez plusieurs "auteurs" différents (je mets le terme "auteur" entre guillemets puisque dans ce cas, les vrais auteurs sont les guides et ceux qui publient le livre ne sont que des transcripteurs) car cela vous permettra de reconnaître, au-delà des différents styles de guides, ce qui fait leur touche particulière, ce ton spécifique qui leur appartient, cette tessiture qu'on retrouve diversement dans toutes les transmissions. Cela vous permettra de la reconnaître également lorsque vous recevrez et transmettrez vos premiers messages et d'accepter plus rapidement le fait que oui, vous êtes bien en train de communiquer avec un guide et pas de vous taper un délire avec vous-même.

Nous avons des guides attitrés, qui nous suivent tout au long de notre vie, un ou plusieurs (dont un est surnommé ange gardien dans certaines traditions), et des guides ponctuels, qui se présentent à nous à des moments précis de notre vie, parce qu'ils sont "spécialisés" dans un domaine dont nous avons besoin à ce moment-là. Il m'est arrivé de dialoguer avec un "guide" une fois, qui n'est plus jamais venu. Il m'a d'ailleurs expliqué pourquoi il s'était présenté (et pourquoi avec ce style si particulier) mais cela fera l'objet d'une prochaine note.

Lorsqu'un guide se présente, son énergie se "colore", prend une certaine connotation, afin de nous envoyer un signal, une sorte de préparation du terrain, pour qu'on comprenne le "genre" de travail qu'il va faire avec nous. Les guides peuvent donc adopter n'importe quelle forme, choisir un genre masculin ou féminin, faire référence à votre univers onirique ou cinématographique, utiliser les couleurs, sons, odeurs et sensations, pour "donner le ton". Ne vous étonnez donc pas si quand vous contactez votre guide pour la première fois, vous voyez apparaître gandalf, un dieu grec, ou un moine encapuchonné. Ce sont là des archétypes, et c'est la symbolique qu'ils véhiculent qui nous intéresse. Même principe pour le nom. Ils n'ont pas de nom mais parfois, quand on leur demande un nom, ils nous en donnent un, car ils savent que les humains en ont besoin. Et ils vont choisir ce nom de la même façon que l'apparence, en fonction du travail qu'ils ont à faire avec vous. Pendant longtemps, j'ai discuté avec une guide qui se présentait sous une forme assez orientale, qui me donnait l'impression d'une danse des voiles, et qui s'est présentée sous le nom de Luu ly Minh. Je n'étais pas sûre de luu ly, mais luu oui. Je n'avais jamais "entendu" ces mots et je ne savais même pas s'ils existaient quelque part dans le monde. Après quelques recherches il s'est avéré que minh voulait dire "lumière" en vietnamien, luu "grenade" et luu ly "myosotis". Je n'ai jamais été en contact de près ou de loin avec le moindre mot de vietnamien. Comment expliquer que mon cerveau ait pu "fabriquer" ces mots, que non seulement ces mots aient un sens, mais qu'en plus ils aient un sens en lien avec mon expérience (lumière) et plus encore un sens particulier pour moi : grenade et myosotis sont des symboles forts pour la franc-maçonne que je suis. Il s'est avéré d'ailleurs, pendant tout le temps qu'ont duré nos échanges, que mon guide a souvent utilisé des métaphores maçonniques, ou fait référence à cet univers, pour me faire comprendre ses messages et rendre ses enseignements plus percutants pour moi.

Une autre fois, un guide s'est présenté sous le nom d'Obiwan. Oui, oui ne riez pas. Obiwan Kenobi, le retour du Jedi, toussa toussa... Mais qu'est-ce que la force sinon la métaphore du pouvoir de l'énergie et de la conscience ?

Parfois, ils ne répondront pas du tout quand vous demanderez un nom. Parfois il n'y aura pas d'image non plus. Juste des sensations.

Pour favoriser le contact, et la montée de votre conscience jusqu'au niveau vibratoire où le guide pourra lui, descendre, il est important de ne pas plomber vos corps, dans les heures qui précèdent la transmission, avec des nourritures trop riches, trop incarnées, trop denses (viandes, sucres, céréales). Il est important également de ne prendre aucune substance susceptible de modifier la chimie du cerveau car cela créerait des interférences avec les ondes émises par les guides, des parasites et de la confusion dans le message reçu : pas d'alcool, pas de drogues, pas de somnifère... En revanche, buvez beaucoup et gardez de l'eau à portée de main. Pour monter, vous allez augmenter la quantité de feu en vous, tandis que le guide lui, a besoin de l'eau pour se densifier un peu et descendre à votre rencontre. Du coup le verre d'eau aide les guides à descendre, et vous sera indispensable pour calmer le feu ensuite Au début, les échanges ne vont sans doute pas durer très longtemps. N'insistez pas. Vous risquez d'ailleurs de vous sentir très fatigué après vos premières transmissions. Ecoutez votre sagesse et reposez-vous. Le fait d'allumer une bougie ou un peu d'encens peut vous aider, bien que personnellement je n'en ai jamais eu besoin.

Si vous disposez déjà d'un protocole pour une première prise de contact, n'oubliez pas que lorsqu'un guide se présente, il convient de lui poser deux questions :

- Est-ce que tu viens de la lumière ?

- Est-ce que tu es le guide le plus élevé possible pour moi aujourd'hui ?

A la première question, le guide si c'en est un ne peut répondre que "oui". De diverses façons, comme nous l'avons évoqué ci-dessus au sujet des canaux d'expression. Vous pouvez voir un oui sur votre écran mental, vous pouvez l'entendre comme par télépathie, vous pouvez le sentir dans votre plexus ou ailleurs dans votre corps, ou par un frisson caractéristique, et il peut aussi vous dire oui par un "geste" symbolique. Une fois, j'ai reçu une figure masculine austère, en robe de bure foncée, encapuchonnée si profond que l'on ne pouvait distinguer son visage. C'était assez impressionnant et je me suis empressée de poser ma question, même si je n'étais pas fondamentalement effrayée. Il m'a répondu en rendant sa robe de bure plus claire, plus lumineuse, elle tirait désormais vers le beige.

A la deuxième question, théoriquement la réponse est oui également. Mais parfois, pour une raison précise, ce ne sera pas le cas. La figure qui se présente peut être un facilitateur pour que le guide prévu puisse s'ajuster à notre énergie, ou un messager ponctuel pour faire la transition, nous donner quelques conseils précis et nous aider à faire de meilleurs choix d'attitude ou d'alimentation pour que le guide plus élevé puisse nous rejoindre.

Le protocole complet et précis que j'utilise depuis des années fera l'objet d'une prochaine note. En attendant, pour vous préparer au mieux, surveillez votre alimentation, buvez beaucoup, pratiquez des exercices pour élever votre taux vibratoire, nettoyez-vous avec du reiki ou une douche énergétique et faites, une fois par jour, un exercice de focalisation : vous portez votre attention sur un objet et restez totalement focalisé sur lui pendant quelques minutes : vous l'observez, l'étudiez, entrez en contact avec sa forme, sa couleur, sa matière, sa texture, sa température, sa façon d'entrer en relation avec le monde qui l'entoure, et pour finir vous essayez de projeter votre conscience à l'intérieur de l'objet. Attention cet exercice peut vous épuiser car notre système énergétique n'est pas habitué à mobiliser son attention de cette façon. Ce n'est pas grave... L'occasion de profiter d'une bonne petite sieste.

Oui, les guides existent. Non, vous n'êtes pas seul. Vous êtes aimé, accompagné, protégé, soutenu. Ouvrez vos yeux, vos oreilles, votre cœur et votre conscience. Tout est là. Tout a toujours été là.

 

4 février 2017

A 23 quand tu me tiens !!!

Pour en arriver à l'explication du titre, il faut que je pose le décor de ce qui m'a amené à cette belle synchronicité.

Cela fait quelques temps que l'envie de m'investir dans une association me taraude. L'envie de donner un peu de mon temps pour le soutien des personnes face à la maladie. Quand j'étais à l'hopital, des femmes étaient passées me parler de leur association. Elles avaient eu elles-mêmes un cancer du sein et venaient réconforter les femmes allant subir l'irréversible, le coup de scalpel qui allait à tout jamais modifier leur apparence. J'avais été touchée par leur démarche. Puis lorsque j'ai eu ma radiothérapie, j'ai eu la chance d'être épaulée par une bareur de feu pour éviter que ma peau soit brulée et me donner toutes les chances d'une reconstruction. Bareur de feu, vous connaissez ? Ce sont les personnes qui travaillent à distance et qui arrivent à éteindre le feu d'une brûlure et sont souvent appelées par les services de grands brulés des hopitaux. Lorsque j'ai fini mes séances, cette femme généreuse n'a pas voulu se faire payer mais souhaitait que je fasse un don à une association. Je suis donc partie en recherche d'associations contre le cancer et j'ai fait un don à "Tout le monde chante contre le cancer". A l'époque j'avais même demandé à être bénévole pour leur association mais je n'avais jamais eu de nouvelles jusqu'au 26 janvier de cette année.

Donc, comme je disais au début, cela faisait quelques temps, depuis fin 2016, que l'envie d'être bénévole me revenait sans cesse en tête. Ce matin du 26 janvier, avant de partir au travail, j'ouvre mon Oracle des Anges au hasard et tombe sur la page  "Accueillez la guidance sur votre mission de vie".

Dans la prière affirmative il est noté : "Faites que des gens et les causes se présentent à moi aujourd'hui afin que je puisse les servir".

Je me suis dis au moment de lire ce passage que j'étais sur la bonne voie de vouloir donner du temps à une cause et qu'il fallait laisser l'univers oeuvrer.

Et puis, toujours le 26 janvier, au moment du déjeuner, je regarde mes mails sur mon téléphone et paf, un mail sorti de je ne sais où, mais j'ai ma ptite idée :

Une information sur l'organisation d'un Gala contre le cancer de l'association pour laquelle j'avais fait un don en 2014 !!!!

Alors là, j'ai fait Wouahou !!!!! trop fort l'univers quand même, je ne m'attendais pas à un retour aussi rapide, merci mes guides !!!

Le soir même je suis allée sur leur site pour faire une demande de bénévolat. Avant j'ai tout de même voulu retrouver le mail de l'époque où j'avais fait mon don. Et paf, comme je suis conservatrice, j'avais encore le mail de confirmation. Et je vous le donne en mille, c'était le 23/08/2014.

23, oui le 23, grand frisson partout. J'étais même pas encore au fait du 23 à l'époque !!!

Désolée, de vous mettre les copies d'écran mais je trouve tellement cela drôle, étrange, magique .... qu'il faut que je vous montre en image ces synchronicités.

J'ai eu une réponse cette fois-ci et je vais participer à une réunion d'accueil le 15 février, il y avait aussi une autre réunion le 23 mars mais je trouvais que cela faisait loin. En attendant, j'ai eu hier le président de l'association pour discuter un peu de leurs actions. En parlant avec lui, je me suis présentée et j'ai expliqué pourquoi je souhaitais être bénévole. Et au passage je lui parle du 23, je ne sais pas pourquoi mais j'avais envie de lui en parler et là il me dit, et je vous le jure, ce n'est pas une plaisanterie "Je suis né un 23, le 23 juin". rebelote, grand frisson !!!!

Et là je me dis, je suis vraiment sur le bon chemin. Merci l'univers, merci le 23 et merci à vous qui avaient pris le temps de me lire.

 

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3 février 2017

Synchronicité épisode nnnnnème

Rz_27

En ce moment, après quelques semaines de nettoyage intense, plus subi que voulu, sur les plans émotionnel, karmique et relationnel, j'arrive à lâcher. A sourire pour rien (la pratique du demi-sourire !). A croire que vraiment tout ira bien parce que je suis guidée et que je ne suis pas seule.
"Si tu dis SEULE, tu es seule". M'ont dit un jour mes guides. Facile à entendre. Mais la mise en pratique... Bref...
Aujourd'hui je choisis d'aller à la banque. J'ai failli écrire "je dois". Mais on a toujours le choix. On ne "doit" rien à personne.
Rebref.
Me voilà partie. Depuis que je fais du reiki, il y a toujours une place de parking pour moi quand je vais quelque part. C'est une façon pour l'univers de me confirmer que je suis au bon endroit au bon moment. Et j'y suis attentive. Si je ne trouve pas rapidement, c'est soit qu'il est important de décaler un peu (même d'1/2h), soit que vraiment ceci n'est pas ma voie. Et ce, même si je reste libre de m'y perdre. Le libre-arbitre ça vous dit quelque chose ?
Re re bref.
Je remonte la rue où ma banque est installée.
Je m'éloigne sans avoir trouvé la précieuse place. Je m'interroge. Hum, groumpf. Je suis vraiment trop loin là. Je me résigne à faire un tour d'immeuble, pour voir. Et juste à ce moment là sur ma droite, clignotant. Tellement au moment même où je passais que ça a failli être trop tard.
Tout en me disant que je suis quand même un peu loin (heu les parisiens comprendront pas : loin pour moi c'est quand on passe au deuxième pâté de maison), enfin pas pile devant comme c'est le cas d'habitude, je me gare, et en même temps quelque chose en moi se dit "bah ce n'est sûrement pas pour rien. Il y a une raison à ça. C'est comme un jeu. Si tu te laisses guider tu iras jusqu'au trésor".
Je fais mes corvées. Je parviens à les faire avec le sourire. Je n'ai plus rien sur mon compte. Je suis déjà à découvert. Pour payer le loyer il a fallu forcer le virement. Qu'importe. J'ai réussi à sourire. Je retourne à la voiture. Je remarque (en fait j'avais déjà remarqué en me garant mais sans m'y arrêter) que je suis exactement devant un magasin de deco que j'affectionne. Je suis attirée par la vitrine. Bon comme toujours en fait. Je n'ai pas d'argent. Inutile d'entrer. Mais je craque sur une paire de voilages exposés. Vraiment. Je me souviens de mes cours sur la loi d'attraction. Il faudrait que je m'en souvienne plus souvent. On t'explique que moins tu as les moyens, plus tu dois faire comme si tu les avais (ATTENTION IL NE S'AGIT PAS DE VIVRE À CRÉDIT OU DE DÉPENSER N'IMPORTE COMMENT, c'est juste une attitude intérieure). Donc j'entre demander le prix. 175 euros la paire de voilages. Gasp. Je manque de m'étrangler. Et puis non. Je souris. "Je pourrais si je voulais. Si je décidais de les acheter, je pourrais"
Je continue mon petit tour. J'aime ce qui se dégage des objets. Je pose une ou deux questions à la vendeuse. Puis on parle un peu plus. On se reconnaît d'une certaine façon (sensibilité à la protection de l'environnement, au subtil, au vibratoire). Elle me fait découvrir une nouvelle gamme de bougies de haute qualité, entièrement naturelles, parfumées aux huiles essentielles, qui viennent directement des États-Unis. 15 euros la bougie. C'est cher pour une bougie, mais je ne serai ni plus riche ni moins riche. Je décide d'en prendre une. J'en viens à évoquer mon métier, je ne sais pas pourquoi. Le peu que je dis l'interpelle. Elle me fait développer. Ça lui parle. Son visage a pris une très légère nuance rosée dont elle n'a pas conscience et qui signifie qu'il y a un élan, une émotion, quelque chose qui est de l'ordre du vital et du subtil. Je le note mais sans plus. Ce n'est pas à moi de faire le chemin. Je déroule mon fil. Je termine en disant que je suis maître enseignante de reiki.
Elle crache le morceau.
"Ça fait plusieurs années que je suis attirée par ça. J'ai beaucoup de gens autour de moi qui pratiquent mais je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui me convienne vraiment pour l'initiation".
Sourires de part et d'autre.
Je lui ai laissé ma carte.
Je suis partie après avoir lâché : "je comprends mieux pourquoi je me suis garée juste là".

1 février 2017

Vortex double sens

Il y a des mois et des mois, une cops m'a rendu un service ésotérique en cherchant quelque chose pour moi. Et depuis, j'avais une dette. Je lui ai proposé plein de fois des soins reiki, mais elle n'aime pas. Pas pratique. J'ai essayé de lui fabriquer des trucs mais chaque fois, il manquait l'idée ou un élément important. Et il y a quelques jours, un éclair de génie est venu illuminer mes neurones. Et si je lui proposais de regarder si elle a des entités, et de lui enlever si besoin ? Ça pourrait expliquer pourquoi parfois elle est si adorable, et parfois si gronchon. Haha ! Et je lui ai proposé. Et elle a dit oui. Et j'ai un peu flippé. Mais qu'est-ce qui m' a pris ? Chose promise, chose due. Et puis je n'aime pas voir de dettes. J'ai regardé. J'ai sorti mon pendule, puisqu'on est de nouveau copains depuis quelques temps. Et il s'est avéré qu'elle en avait. Deux entités ! Là aussi j'ai un peu flippé. Mais chose promise, chose due, j'en ai demandé un peu plus. La première n'est là que depuis 2 jours. Ça alors ! Depuis que je lui ai proposé, en fait... C'est une femme, de sa famille éloignée. Elles ne se connaissaient pas. Mais depuis qu'elle est avec ma cops, appelons la Camille pour plus de lisibilité, cette femme a beaucoup d'affection pour elle. Apparemment, cette femme est morte très peu de temps avant de s'accrocher à Camille. Elle lui veut du bien. Malheureusement, ça ne lui en fait pas. La seconde entité est là depuis 2 ou 3 ans. Je ne suis pas sûre pour le sexe, je me demande si ce n'est pas un transsexuel. En tout cas il ou elle a vécu âgé, très âgé, plus de 100 ans. Cette entité ne veut ni bien ni mal à Camille. Elle est là, c'est tout. Je voulais demander quand cette personne était décédée, mais j'ai oublié. J'en profite pour demander aussi si ces entités ont besoin d'aller vers la lumière, c'est oui. Et si je peux les aider, juste moi, et dès ce soir. C'est oui aussi. Besoin de personne d'autre. Du coup, je me renseigne aussi sur le matériel, et le pendule me répond que j'ai besoin de cristal et de mon obsidienne, et de bougie blanche. Gasp ! Mon cristal est occupé pour un soin reiki. Mon pendule est aussi en cristal. Doute pour le cristal, j'ai oublié de préciser lequel dans ma question. Je redemande plus clairement et c'est bon. Mon pendule est très bien, et moi rassurée. Revenons-en à Camille. Un peu gênée, je lui annonce ma découverte. Espérant secrètement que ça ne lui flanquera pas un trop grand coup au moral ou ailleurs. Elle répond rapidement. Elle le prend bien. Elle dit qu'il y a deux jours, elle a été voir un magnétiseur qui ne lui est pas trop revenu. Elle me demande si c'est lié. Je ne sais pas trop. Le pendule me dit que oui mais que ce n'était pas volontaire, qu'il est juste incompétent. Ça me met un peu mal à l'aise. Je dis gentiment à Camille que s'il y a un lien, ce n'était pas volontaire de sa part du magnétiseur. Je suis mal à l'aise de dire qu'il est incompétent. Elle semble comprendre derrière mes mots. Elle est d'accord pour qu'on s'occupe tout de suite de faire monter les entités. On cause par messenger. Forcément, ça serait trop simple si on habitait à côté l'une de l'autre. Je respecte son aversion pour le reiki et décide de faire autrement. Je lui explique que je vais appeler les anges, les archange. Elle est d'accord ! Sans hésitation aucune. Très partante et impatiente, même. Moi qui me demandait comment lui dire ça sans passer pour l'illuminée de service. Je lui demande si elle a l'habitude de méditer ou de se relaxer pour être dans de bonnes conditions. Elle me dit que oui, souvent ! Elle me demande si elle doit faire autre chose. Joie en moi ! Je lui propose d'allumer une bougie blanche. Puis, je lui demande si elle veut faire l'appel avec moi. Ça sera plus efficace. Elle est d'accord pour ça aussi. Je lui explique, liste les archanges, et ce qu'il faut demander. Puis je lui propose qu'on prenne quelques minutes pour se préparer chacune de notre côté et de se prévenir sur messenger quand on sera prête. Petit coup de stress. Je file chercher mes affaires. Boule d'obsidienne, pendule, cadran pour mesurer le taux vibratoire. Pour les bougies, seulement des chauffe-plat. J'en prends 5 pour faire bonne mesure et les pose dans une assiette. Au passage, je prends aussi l'encens d'oliban, et mon miroir rond redécouvert la veille dans ma boite à magie. J'écris le nom de Camille et sa date de naissance sur un petit papier. Je reviens et dépose tout ça sur la table. Préparation. J'ai promis de ne pas utiliser le reiki. Le moment venu, au dernier moment, je me souviens du message de Livia disant qu'au delà de 60 ou 70 000 de taux vibratoire, c'était la vibration divine. Mon taux vibratoire est élevé, alors j'appelle l'énergie divine. Wouf ! Quelle puissance ! Un peu comme quand Madame 23 m'a envoyé de l'énergie christique sur les points d'énergie à débloquer mais puissance mille et dans tout le corps ! Wouhouh ! Ça décoiffe ! A partir de là, tout va très vite. Je mesure le taux vibratoire de Camille : 8 000. Elle est prête, moi aussi. On commence. Je prends le petit papier dans ma main gauche, la boule d'obsidienne dans ma main droite. Dès l'intention de commencer, avant même les premiers mots, je sens que ça commence. Et je récite. Tout haut, une fois n'est pas coutume. J'ai l'impression que ça se bouscule. Ça monte mais ça gigote en même temps. Au bout de trois appels, j'ai l'impression que c'est fini, mais j'ai un doute. Je n'ai pas vraiment distingué deux passages, plutôt un très gros et un peu bizarre. Alors je continue encore deux fois. Mais plus rien. Je demande à mon pendule. Les deux entités sont parties. Le taux vibratoire de Camille est monté à 20 000 !!! Je retourne sur messenger et voit un message de Camille me demandant si une des entité est partie parce qu'elle l'a sentie passer ! Plein de bonheur dans mon petit cœur. Je lui dit que c'est bon. Que les deux entités sont parties. Que tout s'est bien passé. Que les entités étaient très pressées de monter et qu'elles se sont un peu bousculées. Elle est très contente et moi aussi. On discute pas mal après ça. Elle me raconte qu'elle a appris depuis peu qu'elle peut communiquer avec les entités, mais qu'elle n'ose pas. Ça m'étonne moins que deux d'entre elles se soient accrochées du coup. Comme elle n'aime pas le reiki, je ne lui en propose pas. je ne veux pas qu'elle se braque. Alors je lui explique qu'il faudra boire beaucoup et beaucoup méditer. Avoir un mode de vie sain, et tout et tout. Et aller voir un bioénergéticien. Je laisse les bougies brûler encore longtemps. Puis quand je sens que c'est bon, je les éteins avec les doigts. Puis je vais laver ma boule d'obsidienne. Le bâton d'encens vient de terminer de se consumer. Comme par hasard.Je bois un grand verre d'eau. Je mesure mon taux vibratoire par curiosité : 75 000. Je suis fatiguée, je vais me coucher. Après je ne sais combien de trajets aux toilettes. Pourtant je n'ai pas bu tant que ça. Un peu comme après l'initiation indigo où j'ai crains pour mon état d'hydratation à force. Tout va bien. Je vais dormir. Me relève en deux heures après pour faire encore une fois pipi, ce qui ne m'arrive jamais. Puis retourne dormir d'un sommeil de plomb.
1 février 2017

Oser, oser ce simple appel et ne laissons pas le temps nous éloigner

Cela faisait longtemps maintenant que je n'avais plus de contact avec une amie dont je suis la marraine de son fils, au moins 14 ans !!! J'avais bien eu des infos il y a quelques temps, elle traversait une période difficile au niveau santé mais rien de plus.

Mais voilà, lorsque nous laissons passer trop de temps entre nos contacts, nous n'osons plus. Par peur du rejet de l'autre, qu'elle ne veuille pas nous répondre, nous nous reprochons de ne pas avoir pris la peine d'appeler et puis ..... encore beaucoup d'excuses pour ne pas se lancer et le temps continue de passer !!!!

Tout au long de ces années j'ai bien fait des rêves où elle était présente, j'ai eu régulièrement des pensées en me disant j'espère que ce n'est pas grave ce qu'elle a, mais toujours pas le courage d'appeler. Je me disais aussi qu'avec mes études de géobiologie, je pourrais peut-être l'aider !!!

Et puis, à l'occasion d'un week-end chamanique, mon Chaman adoré, raconte l'expérience d'une personne venue à l'un de ses week-end et qui se retrouva nez à nez avec sa filleule qu'elle n'avait plus vu depuis longtemps. Cela avait résonné à mes oreilles mais bon toujours pas d'étincelle. Et dimanche soir, au cours d'une conférence organisée par ce chaman, de nouveau son histoire, et là je me dis maintenant ma cocotte, il faut prendre ton courage à deux mains et appeler. Ne laisse plus ce temps défiler et t'eloigner encore davantage d'elle.

Donc, lundi soir, j'ai envoyé un message sur Facebook ne sachant pas si elle allait le lire et m'accepter comme amie.

Voici ce message : Bonjour Valérie. Cela fait bien longtemps maintenant que je ne sais même plus pourquoi nous avons arrêtés de nous parler. Je pense tout de même très souvent à toi mais n'ose pas t'appeler. Je me dis que c'est dommage d'avoir perdu contact et que nous ne devrions pas passer autant de temps sans prendre des nouvelles des uns et des autres et surtout des personnes qui ont été importantes dans notre vie. J’étais trop tourner sur moi-même, mon travail et ma famille et n'avais pas conscience de cette négligence. Depuis 3 ans, j'ai entamé un virage à 180° face à un cancer qui m'a obligée à marquer un temps d'arrêt assez long pour découvrir que le chemin que je suivais n'était pas le bon. J'ai aussi voulu comprendre pourquoi cela me tombait dessus et j'ai commencé des études de géobiologie et de soins énergétiques. C'est dans des moments comme cela qu'on se rend compte de ce qui est important. De nombreuses fois j'ai eu envie de t'appeler, de t'écrire mais j'ai eu peur d'affronter ma négligence et de trouver porte close. Mais je me dis que c'est dommage de passer à côté de l'amitié que nous avions et voilà, aujourd'hui j'ose. Je ne sais pas si tu es prête à me répondre mais je tenais à te témoigner toute l'amitié, la tendresse que j'ai pour toi. Je ne sais pas comment tu vas, j'avais appris que tu traversais également une période très difficile au niveau santé mais sans plus de détail. J'espère que tu vas mieux et si tu avais besoin de soutien même si cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas parlés, je serai toujours présente pour toi. Je t'envoie toutes mes amitiés et beaucoup de belles pensées. 

Et là, 5 minutes après mon message, elle m'invitait sur Facebook. Nous avons échangé et décidé de s'appeler le mardi matin. Trois heures de conversation à baton rompu, comme pour rattraper le temps. J'ai appris que ses soucis de santé étaient encore plus grave. Suite à un cancer, elle a subi des radiations qui ont endommagé ses intestins, elle n'a plus qu'1 cm d'intestin et dois vivre en permanence à côté des toilettes. Je m'arrêterais là sur les détails de ses soucis. Mais elle a dû au moins dire au revoir 5 fois à son fils pensant qu'elle ne survivrait pas, elle est une miraculée à entendre ses médecins. Je me rends bien compte maintenant que le temps, la peur, le "à quoi bon" nous empêche parfois d'être présent auprès de personnes importantes dans notre vie et que l'appel que je n'ai pas osé faire avant aurait pu être un tout autre appel celui pour m'annoncer son départ vers une autre dimension sans que je puisse lui dire au revoir.  

Je sais qu'elle n'est pas adepte des appels téléphoniques et un jour on se dit, j'en ai marre d'appeler, c'est toujours moi et on arrête et là le temps s'installe. Mais elle est comme cela, il faut savoir accepter les défauts des uns et des autres c'est aussi cela l'amitié.

Ce message n'est pas un message pour plomber l'ambiance mais pour dire que l'amitié est une valeur importante et qu'il ne faut pas laisser le temps nous éloigner les uns des autres.

31 janvier 2017

Initiation à la lumière indigo

Ma bascule entre les moldus et les initiés date du 1 novembre 2015. Ce jour où Livia a proposé de m'initier à la lumière indigo. Assez terre à terre je ne crois que de très loin à cette énergie supérieure qui a le pouvoir de soulager la douleur et couper le feu. Mais l'envie de ne pas passer à côté de quelque chose est trop forte, alors je dis oui ! Le processus est assez simple je n'ai qu'à allumer une bougie et m'étendre, écouter, ressentir. A lire comme ça on pourrait penser que je prends du lsd... Mais ce n'est rien comparer aux expériences suivantes. L'indigo est devenu mon allier au quotidien, je fais des soins toutes les semaines et en un an j'ai développé une vraie capacité à soulager les maux des personnes mais aussi à capter certains messages ( des anges gardiens ? des guides ? des visions ? ). Je ne sais pas ce que c'est, je sais simplement que ça marche et que souvent je tombe juste. L'indigo c'est " mon truc à moi ". Voici le récit à chaud de mon initiation :

"J'ai tout d'abord allumé ma bougie avec la petite phrase, en fermant les yeux, allongée. J'ai tout de suite vu des animaux bleus d'abord un cheval, un porc, une chèvre, des dauphins, une licone ailée, un renne. Des paysages bleus rien et tout à la fois. Je me suis concentrée sur chacun de mes chakras je n'ai pas ressenti quoi que ce soit de particulier. (Simplement mon ventre qui m'a gratouillé jusqu'à ce que je m'endorme mais avec la grossesse j'ai la peau sèche donc rien d'exceptionnel). J'ai essayé de me concentrer sur la lumière bleue, puis j'ai entendu mon mari à travers le mur crier " arrête " à ma fille et tout est devenu jaune, des toiles d'araignées très épaisses qui me sautaient dessus, des arbres projectiles de gremlins toujours en jaune puis des têtes de morts qui rigolent. J'ai changé de couleur vers le gris/noir des arbres morts calcinés, une explosion atomique ( genre gros champignon qu'on voit sur les photos), puis du vert, un hibou rouge. Je me suis concentré en me disant "Non Livia me transmet la lumière bleue j'y ai droit", j'essaie de retrouver ma licorne ailée je vois son squelette volant, des squelettes de volatiles volants, un trone de roi, des mur qui s'ouvrent tout seul comme des rideaux, différentes couleurs. Puis une énorme tortue aquatique, verte, qui nage. J'entends deux personnes qui parlent " ça craint si quelqu'un fait quelque chose et que personne ne s'en rend compte " . Ils avaient des palettes de peinture la phrase répétée plusieurs fois je m'y accroche il faut que je m'en rappelle. Puis j'entends "la trouille au ventre " plusieurs fois aussi. Je m'accroche à la couleur bleue qui revient par épisodes. A gauche de mon crâne je vois une ouverture qui se dessine, en sort un plongeur avec combinaison et palme il porte une auréole bleu, un vrai halo de lumière en émane il nage jusqu'à mon troisième oeil et je vois la lumière descendre le long de ma joue et je la perds après mon cou. Je me suis endormie, réveillée 20 mins après je vois le ventre rond et énorme d'une femme enceinte et j'entends " pas de mondialisation" je me rendors et mon réveil me fait sursauter. Je fais mon namaste, j'ai dit quelque chose mais je ne me souviens pas quoi. J'étais nauséeuse je me suis recouchée et je me relevée à 5h pour vomir. Je suis extrêmement fatiguée. Voilà donc je crois que j'ai beaucoup divagué et pardon si j'ai raté quelque chose je suis triste aujourd'hui.

J'avais ce sentiment d'avoir échoué ! D'être finalement passée à côté du truc. Certains, pendant cette initiation, ressentent physiquement des choses de folie. Je n'ai fait que voir des choses sans queue ni tête. Je ne savais pas encore que mon don est dans la clairvoyance et Livia m'a rassuré :

"Tout absolument tout ce qui t'es venu a un sens symbolique. Et au milieu de tout ça une chose est claire : une partie de toi n'était pas d'accord avec cette "histoire d'initiation" et a instillé des tas de doutes (tu sais comme dans vice versa) .... mais la lumière indigo a fait son chemin (le plongeur) jusque dans les profondeurs de ton être."

Elle ne pouvait PAS savoir que j'avais des doutes concernant cette initiation ... En relisant je retrouve le champignon atomique, étrange je l'ai aussi vu pendant mon initiation au reiki ! Mais ceci sera une autre histoire.

A.C

31 janvier 2017

Enzo, Roi des Gaules

Prenez un joli petit couple de trentenaire plutôt sympathique. Ce petit couple souhaite faire des bébés. Rien de bien extraordinaire en soit. Sauf que, de plus en plus, ce "besoin" naturel, ne l'est plus vraiment.
Il a fallu qu'ils aient recours à la FIV pour le premier. Premier qui a deux ans aujourd'hui. Ça marche, donc.
Mais voilà. Un ne suffit pas. Ils en veulent un second les petits cocos.

Moi, je connais bien, elle.
Elle est une petite pépètes, mignonne, énergique et d'une gentillesse à mourir. Je m'y suis attaché à cette petite meuf là.
Elle me raconte: Lui à des spermos un peu chelou. Il n'en a pas beaucoup et des fois, ils ne sont pas super d'aplomb.
Moi j'ai déjà donné un petit coup.... de main pour qu'une FIV arrive au bout. Je suis le champion du monde toutes catégories confondues, du coup de pouce à la FIV. Si si. (Qui a dit que je ne devais pas me prendre pour dieu?)

Je propose donc mes services à ma petite chouchoute. Je lui dis que, si elle voulait, je pouvais lui faire des séances de Reiki. Une avant le prélèvement, une après l'implentation (beurk. Quel mot caca) pour booster l'affaire.

Et puis je pense à mon initiation de Reiki I. A mes premiers auto-traitements. Pendant vingt et un jour, excuse moi par avance, mais j'ai eu des érections d'enfer. Du genre que je n'avais pas l'habitude d'avoir. J'avais donc posé la question à mon maître: "J'ai un gros zizi maître, à cause de toi. Ça te dirais pas de....." euh.... non. C'est pas ça que j'ai dit. Je lui ai demandé si cette affaire là n'était pas liée au Reiki. Ce qu'elle m'a confirmé. Elle m'a confirmé qu'il fallait faire attention pendant cette période. Surtout les filles. La période d'auto-traitement serait une période qui rendrait les jeunse padawans très fertile. Homme ou femme. Et là... bim.

Bon sang. Mais c'est maintenant qu'il faut faire les traitements. Si moi ça me rendait plus fertile, ça ne peut qu'être bon pour ce couple. Pour lui surtout. Pour que ses petits mi-bébés soient plus enjoués. 

Je raconte ça à mon amie ce midi. Elle pleure. ben oui. C'est comme ça. Elle est émotive la petite. Et surtout, et c'est là que tu vas aimé, elle me raconte.
Elle me raconte que sa maman, qui ne croit en rien de tout ça, a une amie un peu perchée, qui lui a dit que sa fille n'aurait pas besoin d'une FIV pour avoir son second enfant. Alors? Signe, pas signe? Synchro pas synchro?

Je te rajoute juste que, les midis, la future bi-maman mange très peu à la cantoche. Aujourd'hui, c'était possible. Je te rajoute que, quand je mange à la cantine, je ne mange jamais seul. Je suis entouré de filles (C'est mon karma). Normalement, nous aurions du remplir une table. Et là, je te le donne Émile, pas une n'étaient dispotes. Nous avons mangé que tous les deux. Et puisque tu es sympa, je te rajoute gratos que ce dimanche après midi, je suis seul à la maison. C'est pour moi. Je te l'offre.
Rendez-vous dimanche pour deux soins Reiki.

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La cave voutée
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